Parti en début hier en d'après midi, je passe récupérer le génois à la voilerie. La bande anti-UV de ce dernier était à changer. Mauvaise surprise : le travail n'est même pas commencé...
Donc, pas de voile ce week-end. Je vais en profiter pour mieux connaitre et vérifier ce bateau.
Arrivée vers 19h00 au bateau, qui m'attend bien sagement ...
J'ai dormi dedans, dans la cabine avant, mais j'ai eu froid, ce qui est rare pour moi, surtout avec un duvet aussi chaud. Il faut que je vérifie les prises d'air.
samedi 27 avril 2013
jeudi 25 avril 2013
Un excellent bouquin : Islander autour du monde en solitaire
Un excellent livre sur ce tour du monde à la voile dans les années 1920. L'auteur est modeste, alors qu'il est le premier "non-marin" à construire son bateau et faire un tour du monde complet en solitaire.
Livre lu en 2-3 jours, malgré le manque de temps ...
Voici le 4e de couv (dos du livre ! ;-) :
« Islander autour du monde en solitaire » de Harry Pidgeon
Traduit de l’américain par Olivier Merbau.
Titre original « Around the world single-handed : the cruise of the Islander« .
Titre original « Around the world single-handed : the cruise of the Islander« .
Harry Pidgeon (1869-1954), constructeur de son propre bateau, est le premier navigateur amateur à faire le tour du monde par la route des alizés. Il initia ainsi, à une époque où les petits voiliers étaient rares à naviguer au grand large, et sans l’avoir imaginé un seul instant, un nouveau genre de vie, qui depuis quatre-vingt-dix ans attire de plus en plus d’adeptes : les vagabonds des mers…
Ce récit devenu mythique est constamment réédité aux États-Unis. Voici la traduction annotée et commentée des jours les plus libres et les plus heureux de ma vie (Harry Pidgeon).
Harry Pidgeon (1869-1956) est un photographe américain réputé devenu marin. Vingt-trois ans après Joshua Slocum, il réalise via le canal de Panama et la route des alizés, deux tours du monde en solitaire : 1921-1925 et 1932-1937. Au cours de ses deux voyages, il a navigué avec Islander qu’il a construit lui-même. En 1947, Harry Pidgeon tente une nouvelle circumnavigation accompagné par sa femme et un équipier, mais ils font naufrage.
Le traducteur Olivier Merbau, traducteur notamment des récits des navigations de Thomas Fleming Day et de Harry Pidgeon, auteur de romans, skipper et convoyeur de bateaux pendant plus de vingt ans, a effectué une longue carrière dans le nautisme avant de se consacrer à l’écriture.
9782842657451
Prix public 21 eurosvendredi 5 avril 2013
Mortagne-sur Gironde
Mortagne sur Gironde est un port très sympa, vivant.
Pour les gens qui ne connaissent pas, une liste de liens :
Aussi le blog de l'Association des Usagers du Port de Mortagne sur Gironde qui donne les horaires d'ouverture de l'écluse.
Pour les gens qui ne connaissent pas, une liste de liens :
- La page de la capitainerie
- Page de l'Univers de l'estuaire (estuaire-gironde.fr)
- Page Figaro Nautisme (pour le port)
- l'Office du tourisme (pour les activités)
- Wikipédia (pour le reste ...)
Aussi le blog de l'Association des Usagers du Port de Mortagne sur Gironde qui donne les horaires d'ouverture de l'écluse.
Réussir à naviguer seul ...
C'est plus facile à dire qu'à faire ... Mais c'est mon objectif : commencer par un bateau habitable, mais modeste, et faire mes premières armes dessus.
Bien sûr, j'ai du mal à imaginer comment cela va se passer. Pour le moment, le bateau est au ponton, et je n'ai fait que de l'entretien.
Les voiles sont rangées ou à la voilerie pour réparation. En effet, lors du rangement des voiles à notre arrivée à Mortagne, j'ai vu que la bande UV du génois était très abimée. Je l'ai donc portée à la voilerie PVS à St Sulpice de Royan.
Bien sûr, j'ai du mal à imaginer comment cela va se passer. Pour le moment, le bateau est au ponton, et je n'ai fait que de l'entretien.
Les voiles sont rangées ou à la voilerie pour réparation. En effet, lors du rangement des voiles à notre arrivée à Mortagne, j'ai vu que la bande UV du génois était très abimée. Je l'ai donc portée à la voilerie PVS à St Sulpice de Royan.
dimanche 10 mars 2013
1ère visite
Je suis parti de bonne heure. Il me faut entre 2h30 et 3h de route, naviguer, ça se mérite...
J'arrive au bateau, et il fait beau : j'ai de la chance, come toujours !
ça me fait bizarre : je ne sais par où commencer : les voiles sont démontées, et je ne me sens pas près à sortir du port.
Je passe ma journée à nettoyer, surtout le pont et le cockpit sont ont toutes les traces de l'hiver : il y a
de la mousse qui pousse dans les recoins, et l'eau stagne.
Je vide les coffres, et fais un inventaire complet. Dominique, l'ancien propiétaire m'a laissé beaucoup de matériel, mais tout semble si ancien...
A midi, je mange des huitres au petit resto du port. Je n'ai plus l'habitude de manger seul au resto, mais les huitres sont bonnes.
Après manger, je retourne au bateau, et je fais la connaissance de voisins de ponton, un couple d'écossais très sympatiques. Il ont un bateau à peine plus grand, mais très bien équipé...
Je fais tourner le moteur qui démarre sans problème, mais ne déplace pas le bateau.
J'arrive au bateau, et il fait beau : j'ai de la chance, come toujours !
ça me fait bizarre : je ne sais par où commencer : les voiles sont démontées, et je ne me sens pas près à sortir du port.
Je passe ma journée à nettoyer, surtout le pont et le cockpit sont ont toutes les traces de l'hiver : il y a
de la mousse qui pousse dans les recoins, et l'eau stagne.
Je vide les coffres, et fais un inventaire complet. Dominique, l'ancien propiétaire m'a laissé beaucoup de matériel, mais tout semble si ancien...
Après manger, je retourne au bateau, et je fais la connaissance de voisins de ponton, un couple d'écossais très sympatiques. Il ont un bateau à peine plus grand, mais très bien équipé...
Je fais tourner le moteur qui démarre sans problème, mais ne déplace pas le bateau.
mercredi 9 janvier 2013
De Meschers à Mortagne
Au changement de propriétaire, on ne peut garder la place du bateau. Par précaution, nous avions réservé une place dans le port de Mortagne. Nous avons donc fait le trajet (au moteur, ouh, la honte ...) tout début janvier 2013.
A l'arrivée à Mortagne, le port était en dévasage, et donc innaccessible. Le bateau est donc resté 2 semaines au ponton externe.
A l'arrivée à Mortagne, le port était en dévasage, et donc innaccessible. Le bateau est donc resté 2 semaines au ponton externe.
mercredi 2 janvier 2013
Quand l'occasion se présente
Depuis quelque temps, je cherchais des idées pour un bateau. Devant le prix des voiliers, je pensais plutôt le construire, mais je n'avais rien fait. Juste un petit stage de voile à SRR, qui possède une école de voile habitable (ERH). Je conseille ce stage qui est très bien fait et très bien encadré.
Un jour, en regardant les annonces, j'en vis une qui attira mon attention : le propriétaire d'un petit voilier cherchait quelqu'un pour naviguer avec lui. Je pris contact, pensant qu'il cherchait quelqu'un de compétent, et non un débutant comme moi. A ma grande surprise, il fut d'accord pour que je navigue avec lui, moyennant le partage des frais d'entretien, et pour une copropriété ultérieurement.
Mais les occasions de naviguer ensemble étaient rare : j'habitais loin de la côte et mon emploi du temps était très chargé. De ce fait et à cause d'ennuis de santé du propriétaire, le bateau fut à vendre, bien avant que je ne l'ai pris en main. Le propriétaire en voulait un prix correct. J'ai donc franchi le pas, et je suis devenu propriétaire d'un Atlante, petit voilier de 8,50 m, qui est basé dans le port de Mortagne-sur-Gironde.
mardi 1 janvier 2013
Un rêve d'enfant
Tout cela a commencé il y a bien longtemps.
J'ai toujours adoré la mer.
L'été, je nage longtemps sans me fatiguer, et je m'endors sur la plage. L'hiver, j'adore me promener sur les plages désertes, balayées par la puie et le vent.
Comme beaucoup, je révais de pouvoir partir loin, découvrir de nouveaux horizons, de nouveaux amis, mais aussi de partager cette passion.
Les bateaux passant au loin me faisaient rêver.